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Le 25eme jardin

9 décembre 2015

PicsArt_12-09-04

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27 octobre 2014

fleur-doctobre

17 octobre 2014

Fleur-001

 

 

 

Aujourd’hui c’est un éloge posé au coin de tes lèvres dont l’ardente élégance me rappelle à coup sûr combien je pourrai être infidèle à mes promesses de retenue et de correction. J’y dépose simplement un appel à la dissidence, un appel au voyage au long cours, à l’écriture de mémoires insensées.

Sur ces fruits de grenade j’y vois depuis le début la politique parlementer entre valses éperdues et pondérations assassines, tes lèvres  voudraient suivre un baiser épique mais toujours  s’y oppose l’ombre des plaidoiries anciennes.

Je te murmure un paradis bordélique mais planté d’arbres sincères, droits et impérieusement dévoués à la vie et à sa création, je te chuchote l’indéfectible démesure du monde sous un regard sage et éclairé.

Fuyez donc  pesants effrois du passé dont les monologues sanglants non de cesse que d’égorger nos figures complices, bêtes affamées qui pourtant ne savent se nourrir des splendeurs insolites, fuyez sombres soupçonneux et inoccupés  portraits de la servile abdication.

Sur tes lèvres délicatement illuminées par ce désir d’illégal, j’y abandonne une scandaleuse pensée, lieu sans masque le carnaval m’y hais, lieu sans monnaie tout n’y est pas gratuit.

16 octobre 2014

Ikea

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15 octobre 2014

Les dissidences de nos jours sont élastiques...

greuzemfab

 

 

 

« Tout raisonnement sur l'amour le détruit. » Tolstoï.

 

 

 

...

 

 

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15 octobre 2014

Graphi-001

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15 octobre 2014

Monarda didyma

Monarda_didyma_USFWS_BES

"Pour chaque perfide crépuscule qui m’aura contraint à baisser la tête il y aura un lever de soleil,
Pour chaque chien, pour chaque loup qui m’aura mordu, la lumière entrera dans mon cœur et me fera encore plus véritable. 

A chaque sourire de toi qui revient en rêves sous ma peau, les violons se font plus bavards, Ils se lèvent, se redressent, se soulèvent ces séculaires baisers qui n’attendaient que toi, et, aux pieds des vestiges de ces châteaux autrefois mis à terre, de nouveaux vertiges aux couleurs de tes lèvres s’élèvent et seront encore plus beaux.

Sous tes paupières brillent des perspectives offrant refuge à mon ventre affamé, et pour ta peau et sa fièvre fidèle, qui sur elle doit savoir faire perler des rosées noctambules, j’offrirai si tu le veux, mes mains timides, indiscrètes et incrédules.

A chaque nuit hantée qui ne trouvait de sens que parce qu’elle finissait lâchement son jour, succède aujourd’hui  une nouvelle page dans le journal de bord de ce voyage extraordinaire, revit alors la fortune. 

Il y a des fleurs qui marquent de leurs empreintes des cœurs qui erraient obstinément sur une funeste voie.  Simplement offertes, ces quelques délicates ont en quelques secondes tracé de nouvelles routes pleines de promesses, à la fois puissantes et paisibles, tendres et obstinées, généreuses, ces routes portent en elle un abandon dépouillé des apparats d’un trop long discours. On les appelle on m’a dit lettre d’amour.

Ces fleurs, mon cœur s’en nourrit encore, ce jour de festin résonne, revient, me resserre dans ses bras, c’est un refrain régulier comme la vague d’une chanson fleuve que j’aimerai avec toi silencieusement regarder au bord du Saint-Laurent. 

Ces fleurs, mes papilles s’en sont délectées, sur ma langue cohabitent  des chemins gustatifs et raffinés  et d’autres plus charnels et sauvages, c’est un lieu de rendez-vous où madame, j’aimerai pour vous apprendre le piano, c’est un lieu où madame j’aimerai vous faire goûter mon cœur terrassé, c’est un lieu où madame j’aimerai votre visage à jamais servir d’émerveillement, c’est un lieu où madame j’aimerai vous faire oublier mademoiselle, y retrousser vos jupes de dentelles, c’est un lieu où madame le prochain rendez-vous sera un je t’aime, c’est un lieu où madame je pleurerai pour la bonne cause.

C’est un lieu, où madame réside ce qui est moi, chair à vif, c’est un lieu où madame l’ombre est ma lumière, C’est un lieu madame où les fleurs se sont imposées devant le perfide crépuscule. Les chiens et les loups madame y sont maintenant des moutons fiancés à la figure de vos sourires rêvés.

 Flor que se come, hoy en el secreto  y el silencio trabajo en el jardín , para ti, solo algunas palabras, sin que lo supieras."

 

 

26 septembre 2014

Nijaay !

 

 

 

bleu ste

 

 

 

 

 

 

Nijaay !

Nanoumé a, nanoumé atrou, nanoumé atrou pactra sin atroué ma mactabilé,

Finaas qué nanoumé atrou pactra sin ma mactabilé passassé ma mactabilé,
Téa, étéa sin nanoumé mon amour,
téa ma mactabil
é éta passassé,
et sur ta peau, nanoumé atrou pactra,

 

 

 

 

 

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